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Un boxeur brillant, investi, provocateur…

  • communication988
  • 29 oct. 2015
  • 2 min de lecture

Le premier est un comédien du genre boxeur. Le deuxième est, lui, boxeur et c’est une bête de scène. Le dernier est auteur et distribue les coups…

Pour un spectacle fort, qui nous parle de coups assenés mais aussi de résistance, de foi, de limites, l'acteur congolais sera en Belgique cet automne, notamment à La Louvière et à Chapelle-lez-Herlaimont !

Etienne Minoungou, initiateur du plus ambitieux festival de théâtre d’Afrique de l’Ouest, Dieudonné Niangouna, artiste congolais associé au dernier Festival d’Avignon, et le champion du monde de boxe Mohamed Ali ont en commun un engagement artistique, sportif et politique. M’appelle Mohamed Ali met en scène le boxeur du siècle, brillant, investi, provocateur… On y raconte ses combats les plus importants, son titre de champion du monde qu’il perdit en refusant de faire son service militaire car "jamais un Viêt cong ne m’a traité de nègre", ce même titre qu’il récupéra sept ans plus tard lors du "match du siècle", organisé par Mobutu au Zaïre en 1974. Donné perdant, le roi de la danse gagne à 32 ans son combat contre l'américain Foreman porté par la ferveur d’une salle en ébullition. Pour gagner ? Il faut flotter comme un papillon, piquer comme une abeille… Aujourd’hui "à mi-vie", Minoungou, et Niangouna en appellent à Ali pour réfléchir à une Afrique moderne, pour laquelle relever des défis est encore toujours une activité quotidienne. Avec Ali, ils s'interrogent sur la valeur de l’existence. Constitué d'allers-retours entre la vie et les combats du boxeur, et les réflexions d'Etienne et de Dieudonné à propos de cette figure, M’appelle Mohamed Ali donne à réfléchir sur la résistance, la foi en soi, la complémentarité des êtres, la collectivité, la combativité et le franchissement des limites. Être africain et en faire le choix - si l’on peut; en porter l’identité fièrement comme on porterait un drapeau ; initier un acte de résistance personnel ou collectif sans se départir d’une grande ironie. Trois hommes noirs vont ainsi au combat. Cie Falinga / Théâtre Le Public / Les Récréâtrales / La Charge du Rhinocéros - texte : Dieudonné Niangouna - mise en scène et scénographie : Jean Baptiste Hamado Tiemtoré - avec Etienne Minoungou /// Une tournée Propulse !

M’appelle Mohamed Ali

> jeu 03 dec /// 20:00 /// Le Palace /// place Jules Mansart 17, La Louvière

> 064 43 13 35

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